Le hub M3 est le dernier conçu par Aqara et c’est aussi le premier à intégrer une puce Thread, en plus du Zigbee que l’on trouve dans tous les autres ponts de la marque. Associée à Matter, cette puce doit permettre d’ouvrir le hub à une large collection de domotique, en faisant office à terme de pont central pour tous les appareils connectés chez vous. Il est actuellement vendu en promotion sur Amazon, à 111 € au lieu de 130 en cochant bien le coupon de 10 % avant de passer la commande.
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Par rapport aux autres hubs de la marque, le M3 adopte aussi un nouveau format carré et il est possible de l’alimenter en Ethernet PoE, si vous êtes équipé d’un switch compatible avec la norme. Il intègre aussi un émetteur infrarouge pour contrôler d’autres types d’appareils, comme un téléviseur ou une unité intérieure de pompe à chaleur. La puce Zigbee sert uniquement aux accessoires Aqara, alors que celle en Thread peut en théorie servir pour tous les accessoires Matter qui reposent sur ce standard. En théorie, car ce n’est pas encore tout à fait le cas en pratique, il faudra patienter le temps que l’écosystème nouvelle génération se mette en place et qu’Aqara sorte quelques mises à jour logicielles.
Si vous cherchez un hub Aqara, cela reste l’option la plus pérenne et indéniablement la meilleure à l’heure actuelle. Surtout à ce prix plus raisonnable, à condition de ne pas oublier de cocher la case pour obtenir la réduction maximale.
Skylum, entreprise pionnière dans le domaine des logiciels de retouche photo (et créateur du célèbre Luminar Neo), fait un pas de géant avec le lancement de Luminar Mobile. Cette application, une évolution de Luminar pour iPad, est désormais disponible sur iPhone et Apple Vision Pro, apportant des outils de retouche de pointe à une gamme élargie d’appareils Apple.
Skylum fait bouger la retouche photo avec Luminar Mobile, désormais accessible sur iPhone et Apple Vision Pro. Offrant des outils de pointe à portée de main, cette application transforme l'édition d'images en une expérience immersive et intuitive, idéale pour les photographes en déplacement et les créatifs exigeants.
De l'iPad à l'iPhone et au Vision Pro
Lancé en mars, Luminar pour iPad a rapidement conquis les passionnés de photo avec ses outils innovants et son interface intuitive. Aujourd'hui, Skylum étend cette expérience aux iPhone. Enfin ! Luminar Mobile permet désormais de capturer, éditer et partager des images réussies, le tout à portée de main.
Ivan Kutanin, PDG de Skylum, commente : « L’adaptation de notre logiciel pour l’iPhone était un défi majeur. Avec Luminar pour iPad, nous avons créé une solution mobile exceptionnelle, mais beaucoup de gens préfèrent la simplicité d’un smartphone pour capturer, éditer et partager leurs photos. Avec Luminar Mobile, ils peuvent désormais obtenir des résultats professionnels et les partager instantanément. »
Un design réussi et intuitif
Luminar Mobile conserve le design innovant de sa version iPad, avec des commandes intuitives qui réagissent au toucher par des mouvements et des sons bien faits.
Cette interaction enrichie rend l’expérience de retouche plus engageante et immersive, tout en offrant des résultats dignes des logiciels professionnels, pour ne pas les citer.
Les photographes (de tous niveaux) apprécieront la suite complète d'outils de retouche photo déjà disponibles sur l’iPad. Cela inclut des fonctions alimentées par l'IA telles que Enhance AI, Sky AI, Structure AI et Relight AI.
Luminar Mobile introduit également deux nouveaux outils spécifiquement conçus pour les portraits : Skin AI et Body AI, qui permettent d'améliorer les photos et de capturer les personnes sous leur meilleur jour.
Pour une immersion totale, les propriétaires d'un Vision Pro peuvent aussi retoucher leurs photos dans un environnement de réalité virtuelle, avec une interface spécialement adaptée.
Luminar Mobile, si pratique avec l'iPad
Pour ceux qui préfèrent un écran plus grand pour le traitement des photos, l’iPad reste une plateforme idéale, offrant en plus l’avantage de l’Apple Pencil pour une précision accrue. Luminar Mobile est entièrement intégré à l'écosystème Apple, permettant une synchronisation fluide entre les différents appareils et assurant une continuité créative sans faille.
Disponibilités et tarifs
Luminar Mobile est maintenant disponible sous forme d'abonnement, à partir de 3,99 € pour un mois, 15,99 € pour six mois, ou 23,99 € pour un an, avec une période d'essai gratuite de sept jours (code promo Mobile20).
Les abonnés actuels de Luminar pour iPad recevront gratuitement une mise à jour vers Luminar Mobile, leur offrant un accès complet à l’application sur iPad, iPhone et Vision Pro.
Skylum est une entreprise internationale dédiée à la transformation de la retouche photo grâce à des outils créatifs. Luminar Neo, son produit phare, permet aux photographes de tous niveaux de réaliser leurs visions créatives grâce à des technologies avancées basées sur l'IA, tout en offrant un contrôle total sur le résultat final.
Skylum a été récompensée par le Red Dot Award, le Best of Year d'Apple, le Best Imaging Software par TIPA et EISA, ainsi que par plusieurs autres distinctions de premier plan.
iPadOS 18 ne va pas seulement apporter une Calculette ou des nouvelles fonctions manuscrites à l’iPad. Cette mise à jour majeure va également ouvrir la porte aux boutiques alternatives et à d’autres systèmes de paiement sur la tablette.
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Deux mois après la désignation de l’iPad comme « contrôleur d’accès » supplémentaire par la Commission européenne, Apple confirme que c’est avec iPadOS 18 qu’elle compte mettre cet appareil en conformité avec le DMA. Les mesures mises spécialement en place dans l’Union européenne sur iPhone depuis iOS 17.4 sont maintenant intégrées à iPadOS 18 bêta 2, une version destinée aux développeurs.
Outre laisser une place aux boutiques et aux systèmes de paiement alternatifs, Apple va devoir présenter un écran de sélection de navigateurs et autoriser les navigateurs avec des moteurs de rendu tiers sur ses tablettes.
La Commission européenne a fait savoir ce matin qu’elle n’était pas satisfaite du tout du premier plan de mise en conformité d’Apple et que la Pomme risquait gros si elle ne rectifiait pas rapidement le tir.
Le cycle des bêtas d'iOS/iPadOS 18 est enclenché avec la mise à disposition de la seconde mouture pour les développeurs (build 22A5297f). La première, fournie le jour d'ouverture de la WWDC, a déjà apporté pas mal de changements, quand bien même le gros morceau d'Apple Intelligence n'était pas inclus et qu'il ne sera pas utilisable en français avant de longs mois.
D'après les notes de version, de nombreux bugs présents dans la première bêta ont été corrigés dans la seconde. Cela concerne entre autres l'appareil photo, l'écran toujours allumé des iPhone Pro et iCloud Drive.
Une deuxième bêta (build 22J5305e) est également disponible pour tvOS 18. Les bêtas publiques seront disponibles en juillet.
Mise à jour à 21 h — La nouvelle fonction de Recopie de l'iPhone sur macOS Sequoia est présente sur les appareils situés dans l'Union européenne, mais elle est bloquée.
Apple travaillerait à réduire drastiquement le nombre de personnes qui travaillent à l'assemblage final des iPhone en privilégiant l'automatisation. Pour les années à venir, le nombre de salariés qui travaillent sur les dernières étapes de l'assemblage d'un iPhone pourrait être réduit de 50 %. C'est l'objectif qu'a donné Sabih Khan, VP Operations chez Apple et second de Jeff Williams, aux responsables de ses équipes expliqueThe Information.
Ce mot d'ordre aurait comme origine la révolte des employés d'une importante usine chinoise de Foxconn à Zhengzhou, en novembre 2022. Les mesures anti-Covid avaient exaspéré quantité d'employés et des affrontements avec les forces de l'ordre avaient paralysé l'usine. Une situation hors de contrôle pendant un temps, des images désastreuses pour Apple et son fournisseur et des délais qui avaient plombé la production des iPhone 14 Pro pour les fêtes.
Apple aurait remis en branle des programmes d'automatisation des tâches précédemment jugés trop onéreux. Les équipements nécessaires peuvent représenter un investissement de centaines de millions de dollars par an. Apple a tenté d'y associer ses fournisseurs, avec des succès variables. Le nombre de personnes attelées à la fabrication de ses produits a toutefois déjà diminué, du moins c'est que laissent paraître ses deux derniers rapports sur sa chaine de fabrication. En 2023 Apple a reçu les données hebdomadaires sur les heures de travail pour une moyenne de 1,4 million de personnes dans 380 sites contre 1,6 million pour 300 sites en 2022.
D'après The Information, l'automatisation est assez importante dans la phase finale d'assemblage des iPhone 15. Une bonne part de cet effort est conduite par Peter Thomson dont les équipes travaillent étroitement avec Foxconn, Luxshare Precision et Pegatron, des sous-traitants clefs d'Apple. Des tâches telles que l'installation de circuits imprimés ou de cadres métalliques sont complètement automatisées. Cela aurait eu des conséquences sur plusieurs milliers de postes, jusqu'à 30 % auraient été supprimés dans certaines unités.
Apple s'est adjoint les compétences de deux startups achetées l'an dernier pour optimiser ses lignes : DarwinAI et Drishti, cette dernière s'appuie sur des vidéos pour détecter en direct des points de blocages ou de ralentissements au sein d'une chaîne d'assemblage.
L'article explique qu'un palier supplémentaire avait été prévu pour les iPhone 16 avec l'installation par des robots de boutons et d'autres composants, mais que les taux d'échec, encore trop importants, ont eu raison de ce projet.
Reste qu'en réduisant cette dépendance à des humains pour de plus en plus de tâches d'assemblage, Apple cherche peut-être aussi à faciliter à l'avenir le transfert de ses lignes d'assemblage en dehors de Chine.
Acheter un tout nouvel iPhone au début de l’été n’est pas la meilleure des idées, surtout si l’on est passionné de nouvelles technologies. Il n’y a aucune espèce de mystère à affirmer que les iPhone 16 et 16 Pro seront présentés durant la première quinzaine de septembre.
Alors si on s’apprête à dépenser 1000 euros dans un nouveau smartphone, mieux vaut peut-être attendre. Si votre vénérable smartphone a décidé de rendre l’âme, si vous avez eu la drôle d’idée de naitre un 15 juillet ou si vous tombez sur une offre d’opérateurs extrêmement agressive, alors peut-être n’avez-vous pas le choix…
Image : MacGeneration
Mais cette année plus encore, il est bien difficile de recommander de passer à l’achat d’un iPhone 15 ou d’un iPhone 15 Plus à cette époque de l’année. Apple n’a pas fait de mystères sur le sujet, ces deux appareils ne prendront pas en charge Apple Intelligence. Ils seront donc incapables d’exécuter ce qui est présenté comme la plus grosse nouveauté d’iOS 18.
Alors certes, Apple Intelligence (AI), c’est encore quelque chose d’un peu nébuleux. Cette fonctionnalité arrivera en bêta cet automne et les utilisateurs européens ne pourront pas y goûter avant l’année prochaine.
Autant à une époque pas si lointaine où l’on changeait d’appareils tous les 12/18 mois, cela n’aurait pas été dérangeant. Mais en 2024, normalement quand on achète un smartphone, ce n’est peut-être pas pour la vie, mais pour au moins trois quatre ans.
Il ne fait aucun doute qu’Apple Intelligence va être dans les années à venir un gros axe de développement d’iOS. D’ici quelques années, on percevra cet événement comme un chapitre marquant dans l’histoire des systèmes d’exploitation d’Apple. Voilà pourquoi il nous parait difficile de recommander à l’achat l’iPhone 15 et l’iPhone 15 Plus qui coûtent respectivement 969 € et 1119 €.
Que vous reste-t-il comme option ? Le mieux est évidemment de pouvoir attendre. Si ce n’est pas possible, vous avez alors deux options : mettre un peu plus au portefeuille et prendre un iPhone 15 Pro ou faire des économies en achetant un iPhone 13 ou 14 en partant du principe que ce dernier aura un cycle de vie plus court…
La Commission européenne a communiqué à Apple ses griefs à l'encontre de son application de certaines règles du DMA et annoncé l'ouverture d'une enquête supplémentaire.
Un peu moins de 5 mois après l'entrée en vigueur du Règlement des marchés numériques (DMA), la Commission européenne dresse un premier bilan de son application par Apple. La Pomme a dû sensiblement modifier le fonctionnement de son App Store en Europe — des concessions ont été faites après coup — mais les services de Bruxelles ont relevé plusieurs points qu'elle juge en infraction avec l'un des articles (5(4)) du DMA. Ces observations ne sont aucunement liées à l'actualité autour d'Apple Intelligence.
Pour le régulateur, les développeurs en Europe qui distribuent leurs logiciels depuis l'App Store devraient être autorisés à informer leurs clients de l'existence d'options d'achat alternatives, et ce, sans frais à payer à Apple. Cette dernière a créé trois nouvelles conditions pour les développeurs qui veulent distribuer leurs apps sur l'App Store et/ou depuis une autre plateforme.
Bruxelles remarque qu'aucune d'elles ne permet aux développeurs de rediriger, sans frais, leurs clients en dehors de l'App Store : « Par exemple, les développeurs ne peuvent pas fournir d'informations sur les prix dans l'application ni communiquer de toute autre manière avec leurs clients pour promouvoir les offres disponibles sur des canaux de distribution alternatifs ».
Ensuite, la seule véritable manière dont ils disposent pour emmener leurs clients ailleurs consiste en un lien externe qui ouvre une page web vers leur site et leurs offres : « Le processus est soumis à plusieurs restrictions imposées par Apple qui empêchent les développeurs d'applications de communiquer, de promouvoir des offres et de conclure des contrats via le canal de distribution de leur choix ».
Enfin Apple perçoit une commission lorsqu'elle envoie un client vers le site externe du développeur où sera conclue la transaction : « Apple facture aux développeurs des frais pour chaque achat de biens ou de services numériques effectué par un utilisateur dans les sept jours qui ont suivi (l'utilisation d') un lien depuis l'application ».
Ce point fait l'objet d'un contentieux entre Spotify et Apple. Les conditions d'Apple disposent que pour toute vente d'un bien numérique réalisée dans les 7 jours qui suivent l'appui sur le bouton "Continuer" (avec lequel on confirme qu'on accepte de sortir de l'App Store pour effectuer une transaction), une commission de 27 % est attendue (12 % en cas de renouvellement de l'abonnement ou pour les PME). Apple estime qu'elle a contribué à cette vente via son App Store et qu'elle doit donc en tirer un revenu. Ce n'est pas tant le principe qui gêne Bruxelles — elle lui reconnaît le droit de prélever une commission — que son montant qui va « Au delà de ce qui est strictement nécessaire » et par là même est de nature à décourager les développeurs.
Apple peut maintenant étudier les remarques de la Commission. Si les réponses apportées ne sont pas jugées satisfaisantes, la Commission pourra prononcer officiellement — d'ici au 25 mars prochain, soit 12 mois après l'entrée en vigueur du DMA — qu'Apple en enfreint certaines règles.
Nouvelle enquête
Parallèlement, la Commission a ouvert une autre enquête en conformité avec l'article 6, paragraphe 4 du DMA, sur les deux choix offerts aux développeurs en Europe : soit de rester sur le contrat de distribution par l'App Store qui prévalait jusque-là, soit de signer le nouveau qui induit d'autres conditions.
Trois d'entre elles vont être étudiées pour en vérifier la nécessité et la proportionnalité : la Core Technologie Fee avec sa taxe de 0,5 € ; le parcours imposé aux utilisateurs qui souhaitent télécharger et installer des apps ou boutiques d'apps alternatives ; les conditions d'admissibilité des développeurs pour offrir ces magasins alternatifs ou permettre un téléchargement depuis leur site web. Actuellement, Apple impose qu'ils soient des membres dits de "good standing" (ou "en règle") ce qui signifie qu'ils doivent répondre à ce statut depuis deux années consécutives sur l'App Store. Et qu'ils aient eu une app qui a enregistré au moins 1 million d'installations sur iOS et iPadOS en l'espace d'un an, en Europe, lors de l'année calendaire précédente.
Apple a déclaré à Reuters : « Nous sommes convaincus que notre plan est conforme à la loi et estimons que plus de 99 % des développeurs paieraient des frais identiques ou inférieurs à Apple selon les nouvelles conditions commerciales que nous avons créées ».
Enfin, la Commission continue à surveiller les procédures mises en place par Apple pour examiner et valider les apps et boutiques d'apps alternatives proposées en téléchargement pour sa plateforme.
En cas d'infraction, la Commission peut imposer des amendes allant jusqu'à 10 % du chiffre d'affaires mondial total (il s'est établi à 383 milliards de dollars pour l'exercice 2023) et 20 % en cas d'infractions répétées.
